Le projet ECHO, lauréat de l’appel à projets lancé par l’Observatoire national de l’éolien en mer La Rochelle Université > Actualités > Le projet ECHO, lauréat de l’appel à projets lancé par l’Observatoire national de l’éolien en mer Publié le 19 mars 2024 ECHO fait partie des 3 projets lauréats retenus dans le cadre de la 1re vague de l’appel à projets lancé par l’Observatoire national de l’éolien en mer. Le projet ECHO, porté par La Rochelle Université, est financé dans le cadre de l’appel à projets de recherche sur l’amélioration de la connaissance des interactions entre milieu marin et éolien en mer lancé par l’Observatoire de l’éolien en mer, avec pour opérateur l’Office Français de la Biodiversité (OFB). Ce projet s’intéressera aux pressions acoustiques liées à l’éolien en mer sur les mammifères marins et l’ichtyofaune en s’appuyant sur les compétences du consortium regroupant le LIENSs CNRS – La Rochelle Université (coordination du projet : Christel Lefrançois), l’ADERA – Cohabys, la Fondation OPEN-C, le laboratoire LOG de l’Université du Littoral Côte d’Opale et NEREIS Environnement ECHO a débuté en janvier 2024 pour une durée de 3 ans. Ce projet est adossé à 2 sites d’essais uniques en France, opérés par la Fondation OPEN-C : SEM-REV en Atlantique et MISTRAL en Méditerranée. La problématique scientifique au sein d’ECHO sera abordée de manière intégrée, d’un point de vue : des approches développées : du milieu contrôlé en laboratoire jusqu’aux sites d’essais en mer, avec l’appui de la modélisation numérique, des disciplines concernées : de l’acoustique sous-marine à l’étude comportementale des poissons et mammifères marins, des pressions environnementales ciblées en considérant le bruit sous-marin d’origine anthropique dans le contexte du réchauffement des océans. Le projet ECHO portera une attention particulière à la communication au travers de la mise en place d’un advisory board avec différents opérateurs de l’éolien offshore et d’un workshop à mi-parcours à destination des acteurs socio-économiques de la filière. Avec le soutien financier de l’Office français de la biodiversité